Au coin du fond, ressurgit le coeur
Il y a eu de la grêle un soir d'automne blanc,
des morceaux de glace ont voltigé dans le temps
sans que personne ne le ressente autant
qu'un moi, vide comme la pluie, prompt comme le vent.
A subir l'agonie d'une retrouvaille, si funeste pourtant
que même l'avancement n'aura pas permis à l'oubliant
de se désemparer de cet être qui d'antan, se chuchottait amant...
au creux de l'oreille, au fond du corps, le mot amour s'était fait fuyant
mais ce soir il a fallu que je me rappelle, à quelle point l'aimant
même dans le flou de mes sentiments, est attirant...
et à quelle point vouloir renier l'amour, c'est désesperant.
des morceaux de glace ont voltigé dans le temps
sans que personne ne le ressente autant
qu'un moi, vide comme la pluie, prompt comme le vent.
A subir l'agonie d'une retrouvaille, si funeste pourtant
que même l'avancement n'aura pas permis à l'oubliant
de se désemparer de cet être qui d'antan, se chuchottait amant...
au creux de l'oreille, au fond du corps, le mot amour s'était fait fuyant
mais ce soir il a fallu que je me rappelle, à quelle point l'aimant
même dans le flou de mes sentiments, est attirant...
et à quelle point vouloir renier l'amour, c'est désesperant.
2 Comments:
J'aime assez.
ça reste compréhensible, et simple c'est sûr, mais je galère un peu en poésie
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